Football et Trinité, l'Argentine aussi...
Pour bien jouer et gagner au football, il faut d’abord se rendre compte que son dogme est trinitaire.
L’entraineur, le meneur de jeu et le ballon, en un mot Dieu le père, Jésus et l’Esprit saint.
L’entraineur délivre le plan de jeu et met en place l’organisation. La figure paternaliste qu’il est censé représenter n’est pas en doute : un père vu comme aimant au sens de José Mourinho ou plus sévère mais juste au sens d’Aimé Jacquet (notez quand même la notion d’amour apporté par le prénom.)
Le meneur de jeu incarne sur le terrain le plan de l’entraîneur, il est le dépositaire du jeu, il inspire aussi dans le contexte les autres joueurs et les mène à la victoire, parfois même on l’appelle créateur. On a eu par exemple pour l’Equipe de France affaire à deux figures christiques Michel Platini et Zinédine Zidane. Dans d’autres nations, il peut se nommer Michael Laudrup pour le Danemark, Diego Maradona et Lionel Messi pour l’Argentine, Zico et Pelé pour le Brésil, Johan Cruyff pour la Hollande.
Notons une chose importante, c’est qu’à l’égal du fils de l’homme, les meneurs de jeu sont des caractères affirmés et sont susceptibles d’emportement comme face aux marchands du temple.
L’esprit saint souffle où il veut, il passe comme un lien invisible et parfois miraculeux entre les joueurs, cela ne peut être que le ballon. ne parle-t-on pas d’une passe lumineuse ?
Le football dans sa symbolique quotidienne est donc un jeu essentiellement chrétien, à forte tendance catholique, pourquoi? je me suis longtemps posé la question, peut-être est-ce du à cet attachement particulier, à la terre, au terrain, comme à un espace sacré ; notez comment des joueurs latins avant de rentrer sur l’aire de jeu touchent le sol avant le signe de croix rituel. Cette référence apparaît aussi dans le rétablissement du culte marial par Jean-Paul II qui ne manquait pas d’embrasser la terre du pays qu’il visitait à la descente de l’avion.
Puisse Diego Maradona embrasser la terre le jour de la finale de cette Coupe du monde de football 2010.
L’entraineur, le meneur de jeu et le ballon, en un mot Dieu le père, Jésus et l’Esprit saint.
L’entraineur délivre le plan de jeu et met en place l’organisation. La figure paternaliste qu’il est censé représenter n’est pas en doute : un père vu comme aimant au sens de José Mourinho ou plus sévère mais juste au sens d’Aimé Jacquet (notez quand même la notion d’amour apporté par le prénom.)
Le meneur de jeu incarne sur le terrain le plan de l’entraîneur, il est le dépositaire du jeu, il inspire aussi dans le contexte les autres joueurs et les mène à la victoire, parfois même on l’appelle créateur. On a eu par exemple pour l’Equipe de France affaire à deux figures christiques Michel Platini et Zinédine Zidane. Dans d’autres nations, il peut se nommer Michael Laudrup pour le Danemark, Diego Maradona et Lionel Messi pour l’Argentine, Zico et Pelé pour le Brésil, Johan Cruyff pour la Hollande.
Notons une chose importante, c’est qu’à l’égal du fils de l’homme, les meneurs de jeu sont des caractères affirmés et sont susceptibles d’emportement comme face aux marchands du temple.
L’esprit saint souffle où il veut, il passe comme un lien invisible et parfois miraculeux entre les joueurs, cela ne peut être que le ballon. ne parle-t-on pas d’une passe lumineuse ?
Le football dans sa symbolique quotidienne est donc un jeu essentiellement chrétien, à forte tendance catholique, pourquoi? je me suis longtemps posé la question, peut-être est-ce du à cet attachement particulier, à la terre, au terrain, comme à un espace sacré ; notez comment des joueurs latins avant de rentrer sur l’aire de jeu touchent le sol avant le signe de croix rituel. Cette référence apparaît aussi dans le rétablissement du culte marial par Jean-Paul II qui ne manquait pas d’embrasser la terre du pays qu’il visitait à la descente de l’avion.
Puisse Diego Maradona embrasser la terre le jour de la finale de cette Coupe du monde de football 2010.
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