Attali piqué par une tarentule morale...
Cette bonne vieille "tarentule morale de Rousseau" qui avait piqué Emmanuel Kant en son temps comme l'avait vu Friedrich Nietzsche.
Mais alors quelle autre a piqué Jacques Attali.
Dans un récent article, la société démoralisée, il nous refait un coup vieux comme le monde, qui frappe chaque communauté lorsqu'il s'agit de définir le passage d'une crise : les premières causes sont à trouver dans un non respect de principes originels qui a attiré la foudre divine. En l'occurrence nous aurions cessé de tenir compte de deux principes originels du capitalisme : la loyauté et la transparence. Ils nous fait même le coup des "pères fondateurs".
Comme l'affirme Friedrich Nietzsche, au début d'Aurore, il s'agit d'un réflexe connu de toute communauté qui, face à un dérèglement (pas de pluie, mauvaise récolte, etc.) se met dans son ensemble à vivre la punition infligée comme sa propre punition et qui se concrétise par le discours auto-flagellant de tout un chacun sur le relâchement des mœurs. CQFD
En attribuant la cause ou la faute à l'obsession de la liberté individuelle voire d'une certaine hystérie de celle-ci, Jacques Attali ne semble pas non plus avoir pensé, avant d'écrire, si ce qu'il nommait la cause n'était pas plutôt un effet. Thème récurrent Nietzschéen, s'il en est. A vous de le découvrir en observant par cet angle, c'est à dire de se poser la question si ce dérèglement n'est pas en mesure devant l'incertitude collective qui grimpe de provoquer la demande accrue de liberté individuelle.
Bon, je ne vais pas plus m'attarder sur les raisons d'un papier par une personne qui a du sûrement faire ses classes à une époque et lire attentivement ce qui compte au niveau de la pensée humaine, mais il y a un XXIème siècle qui s'annonce, et il ne s'agirait pas de continuer à perdre du temps avec des réflexes immémoriaux qui n'ont jamais sorti aucune société de leurs soucis en période de mutation ou de transition.
Mais alors quelle autre a piqué Jacques Attali.
Dans un récent article, la société démoralisée, il nous refait un coup vieux comme le monde, qui frappe chaque communauté lorsqu'il s'agit de définir le passage d'une crise : les premières causes sont à trouver dans un non respect de principes originels qui a attiré la foudre divine. En l'occurrence nous aurions cessé de tenir compte de deux principes originels du capitalisme : la loyauté et la transparence. Ils nous fait même le coup des "pères fondateurs".
Comme l'affirme Friedrich Nietzsche, au début d'Aurore, il s'agit d'un réflexe connu de toute communauté qui, face à un dérèglement (pas de pluie, mauvaise récolte, etc.) se met dans son ensemble à vivre la punition infligée comme sa propre punition et qui se concrétise par le discours auto-flagellant de tout un chacun sur le relâchement des mœurs. CQFD
En attribuant la cause ou la faute à l'obsession de la liberté individuelle voire d'une certaine hystérie de celle-ci, Jacques Attali ne semble pas non plus avoir pensé, avant d'écrire, si ce qu'il nommait la cause n'était pas plutôt un effet. Thème récurrent Nietzschéen, s'il en est. A vous de le découvrir en observant par cet angle, c'est à dire de se poser la question si ce dérèglement n'est pas en mesure devant l'incertitude collective qui grimpe de provoquer la demande accrue de liberté individuelle.
Bon, je ne vais pas plus m'attarder sur les raisons d'un papier par une personne qui a du sûrement faire ses classes à une époque et lire attentivement ce qui compte au niveau de la pensée humaine, mais il y a un XXIème siècle qui s'annonce, et il ne s'agirait pas de continuer à perdre du temps avec des réflexes immémoriaux qui n'ont jamais sorti aucune société de leurs soucis en période de mutation ou de transition.
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